BELLA ❥ giving up the gun. (DONE.)

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ISABELLA LITOVSKI

AUTOBIOGRAPHY
Je m'appelle Isabella Oksana Litovski et je n'aime pas parler de moi. Mais puisque vous insistez, on va y aller à la classique. Je suis née le 1e février de l'an 1992 à Fort Lauderdale, Floride et je suis âgée de dix-huit ans. Mon père est russe, ma mère portugaise, habitant les États-Unis depuis ses seize ans pour devenir ballerine. Ces derniers maintenant divorcés, j'habite désormais avec ma mère à Atlanta, Géorgie et j'ai récemment intégré la prestigieuse école de ballet de la ville, afin de suivre les traces de ma mère et réaliser mon plus grand rêve. La danse classique est ma plus grande passion, je fais du ballet depuis mes trois ans et je n'ai jamais cessé depuis. Je persévère, malgré les entorses et les ampoules. Je suis célibataire, ne trouvant pas le temps pour les relations amoureuses, le ballet prenant la majorité de mon temps. Je travaille comme serveuse dans un restaurant, pour m'aider à payer mes études à la School of Ballerinas et je suis allergique aux poils de chat.

PREVIOUSLY IN YOUR LIFE
Le but est simple. Il suffit simplement de répondre aux questions suivantes en étoffant vos réponses au maximum, pour que l'on en sache davantage sur votre personnage.
Votre parfum préféré ? Jeune, je m'infiltrais dans la chambre de mes parents pour m'asperger de Chanel n°5, le parfum de ma mère. Son odeur me rappelle mon enfance, mais désormais je porte Ricci Ricci de Nina Ricci. La pub avec Jessica Stam m'a convaincue. Autrement, le parfum de la vanille m'a toujours envoûtée et comme un peu tout le monde bizarrement, je rafole de l'odeur de l'essence et du marqueur indélébile.
Votre couleur favorite ? Les couleurs qui rendent bien sur les vêtements. J'adore le bleu marin et le beige. Ce sont deux couleurs basiques qui me plaisent sur ce que je porte. Sinon je hais le rose et trouve le jaune trop voyant. Le corail et le saumon font néanmoins partie de mes couleurs favorites.
Votre projet d'avenir lorsque vous aviez dix ans ? Suivre les traces de ma mère et devenir ballerine. Ce qui est sur le point de se réaliser. Toute mon enfance j'ai suivi des cours de ballet et je fais maintenant partie de la prestigieuse Atlanta School Ballerinas. Si je ne réussissais pas à devenir ballerine professionelle, je me tournais vers la popstar internationale ou la superstar d'Hollywood. Que de choix réalisables.
La citation qui résume votre vie ? « La vie n'est que l'interminable répétition d'une représentation qui n'aura jamais lieu. »
Le chanteur qui a bercé votre enfance ? Oui je sais, c'est plutôt ringard, nul. La bande sonore de mon enfance n'est ni les Beatles, ni Mozart, ni quoi que ce soit de si cultivé. Le girlsband de ma vie, c'es les Spice Girls. Elles ont littéralement bercé mon enfance. Je connais encore toutes leurs chansons par coeur, mais je ne le montre pas en public. Je les idôlatrais et rêvait de devenir comme elles. Ma préférée était Geri Halliwell, ou Ginger Spice. Je la trouvais féroce avec ses cheveux roux. Ma grand-mère m'avait amenée à l'un de leur concert lors d'un passage aux États-Unis. Un des plus beaux moments de ma vie.
La honte de votre vie ? Sûrement la fois où je pensais être seule dans la salle de bain des filles à l'école, après les cours. Je me suis mise à chanter et danser partout dans la salle jusqu'à temps que l'équipe de cheerleading débarque, pour se refaire une beauté avant leur pratique. Elles ont rit un bon coup et je suis immédiatement partie, morte de honte. Je ne le souhaite à personne.

DREAM YOUR LIFE
Écrivez une ou plusieurs anecdotes qui concernent votre personnage. Essayez de révéler au maximum son caractère, ses habitudes et son histoire, évidemment. Le tout devra faire au moins trente lignes. Nous demandons un orthographe correct donc si vous avez besoin, n'hésitez pas à écrire sur BonPatron.com ou sur un logiciel de traitement de texte.

AND LEAVE THE REST
Pseudo : Mushaboom.
Avatar : Kaya Scodelario, on me l'avait réservée.
Commentaires : Magnifique forum vraiment, j'ai déjà hâte de jouer.

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▬ Can't you hear my call?
Are you coming to get me now?
I've been waiting for,
You to come rescue me.

« 1,2,3,4,5,6,7 et 8, pliiiiiiié. » Mes bras s'élancèrent gracieusement dans l'espace, mes doigts se posant doucement et élégamment en cygne. Mes pieds souffraient, je venais passer plusieurs minutes sur la pointe des pieds, sans même pouvoir poser ces derniers sur le sol. J'enchaînais les mouvements, plus appliqués et gracieux les uns des autres. Des bras masculins me soulevèrent gentiment alors que je retournais sur le sol tranquillement. La chorégraphie termina, les bras dans les airs. « C'est parfait tout le monde! À la douche, on se revoit demain. » Nous nous félicitâmes mutuellement de cette impeccable répétion et je m'assis par terre pour retirer mes chaussons. Mes pieds étaient couverts d'ampoules et le bout de mes orteils en sang. Ce n'était pas beau à voir, mais la douleur en vallait la peine. Sadique, elle m'arracha même un sourire. J'enroulai mes pieds de bandage et me dirigeai vers les vestiaires. Il ne restait que quelques filles, ce qui ne me dérangeait absolument pas, un peu de tranquilité était de mise. Je laissai couler l'eau et fermai les yeux lorsque je la sentis glisser le long de mon corps. La douche était pour moi, une période de relaxation intense après un entraînement de la sorte. Je me massai le crâne avec mon shampoing et sortis dix minutes plus tard, une serviette autour de la tête et une autre sous les aisselles. Je revêtis mes vêtements normaux et rangeai mon justaucorps dans mon sac de sport. Je sortis de l'établissement, il faisait noir. Ayant un peu froid et n'ayant aucune envie de retourner chez moi, je m'arrêtai dans le pub le plus proche, dans le but de boire un café tranquillement. En entrant dans le bâtiment, il n'y avait pas un chat sauf peut-être un groupe de jeunes hommes, un peu plus vieux que moi en apparence en train de boire au bar. Je demandai un latté au barman et me posai à l'extrême gauche du comptoir. Ma boisson arriva, et son liquide chaud me réchauffa la gorge. Puis une silhouette s'approcha de moi. « Salut. » Méfiante, je regardai l'inconnu. Il s'agissait d'un des jeunes hommes assis à l'autre bout du bar. « Déjà si c'est une technique de drague, tu peux passer ton tour, merci. » Il persistait, restant à mes côtés, attendant je ne sais quoi. Il commencait à devenir vraiment saoulant. « Tchekhov, hein? Pour l'école je suppose? » Il regarda le livre posé à côté de moi. « Heu, non... » Un bref moment de silence s'installa entre nous avant qu'il ne reprenne. « Si jamais tu as envie de parler Shakespeare ou quoi que ce soit, j'aime bien lire et discuter de mes lectures par la suite. Je m'appelle Castel. » Il m'énervait. Vraiment. Sans lui répondre, je me levai et partit prendre le bus.

« Tu me suis, je le savais. » Je relevai la tête et qui vois-je? M. Lourd en personne. Sans ses copains cette fois. Alors que je soupire d'exaspération, il prend place à côté de moi. Je refermai mon magazine et le rangeai dans dans mon sac. « Au fait, tu ne m'as toujours pas dit comment tu t'appelais. » « Et puis-je savoir en quoi cela te serais utile? » Il haussa les épaules. ]« Ce serait pratique, si je t'invite au restaurant. » Exaspérée, je lui laissai mon numéro. « Tu me laisseras tranquille après, veux-tu? » Je tournai le dos, marchant vers chez moi. « Isabella. Bella, j'aime mieux. »

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▬ You could be my hero,
If only I could let go,
But his love has still hit me,
Like a broken arrow.

« Laisse moi tranquille, Castel. C'est terminé. » Il tentait toujours de se justifier, se rapprochant de moi, prenant mon visage délicatement entre ses mains, essayant de m'embrasser. Furieuse, je me débattais. Je savais qu'un jour, je n'allais pouvoir avoir confiance qu'en la danse. Au moins, la danse elle ne me prenait pas pour un stupide pari. « Bella, s'il-te-plaît... Laisse-moi m'expliquer! » S'expliquer? La meilleure! Il en avait assez fait comme ça, il n'avait plus rien à rajouter. Je n'était que le fruit d'une gagure un vendredi soir, alors qu'il avait un peu trop bu. Non, sérieusement, je n'en avais rien à balancer de ses excuses bidons. Je partis furieusement, en larmes.

L'histoire entre l'inconnu du parc a bel et bien existé. Elle dura assez longtemps, je dois dire. Cinq mois de parfait bonheur. Jusqu'à ce que mon conte de fées se brise en mille morceaux. Nous fillions le parfait amour. Ça n'a pas commencé du premier coup, pour tout vous dire. Le premier rendez-vous eu lieu, j'étais assez méfiante. Mais il n'avait pas l'air méchant. J'acceptai donc son offre de deuxième rendez-vous.

Il m'avait emmenée au cinéma. Cliché que je déteste habituellement. C'est nul comme rencard le cinéma. Assis pendant deux heures, à ne rien se dire. Il a même fait le coup de "Je m'étire et finalement, je suis plus confortable avec mon bras autour de tes épaules". Ça m'a fait rire. Pendant le générique, je ne l'ai pas fait poiroté plus longtemps et j'ai prolongé son baiser. Ce dernier dura assez longtemps, assez pour qu'un employer du cinéma nous demande de quitter la salle. Nous quittâmes main dans la main et il m'invita chez lui (enfin, chez ses parents qui étaient absents) pour enfin bref... J'étais tombée amoureuse sans vouloir me l'avouer. Il était galant, comme jamais un homme ne se l'était montré à mon égard. Il était riche et ses parents ne m'appréciaient pas trop au départ. Sa maison aurait pu contenir au moins... six familles. Ils ont commencé à m'apprécier au fil du temps. Je ne m'étais jamais autant sentie aimée... je commençais même à en devenir nunuche. Je flottais littéralement sur mon petit nuage, Castel à mes côtés.
Jusqu'à ce que.
Jusqu'à ce que, mon Roméo décide de m'ammener à une fête organisée par un de ses meilleurs amis (un autre avec une grosse baraque, sur le bord de la mer du genre paradisiaque, vous voyez?). La soirée commençait bien, nous buvions tranquillement. Puis, Castel parti remplir nos verres. Je restai donc accotée sur le mur, à l'attendre. Asher (un des mecs du bar) arriva à mes côtés, déjà visiblement ivre. Il commença à m'embrasser le cou tandis que je le repoussais. « Putain, lâche-moi! » Asher fit mine de ne pas m'avoir entendue et empoignait mes poignets pour m'empêcher de me défendre. « Fais pas comme si t'aimais pas ça. Tu t'es bien laissée faire avec Castel, non? » « Connard, c'est mon petit-ami! » Il s'arrêta enfin et me regarda dans les yeux d'un air rusé. « C'est pas exactement ce qu'il faisait paraître au pub l'autre jour, mais si tu insistes... » Il en avait trop dit. Mais de quoi parlait-il au juste? « Qu'est-ce que tu veux dire? » « Quand on t'as vu pour la première fois. 100$ qu'il allait coucher avec toi avant la fin du mois. » « Qu'est-ce qui se passe, merde? » Bouche-bée, je ne pris même pas le temps de répondre à personne et sortit de la maison. Arrivée sur la plage, mon talon se cassa et furieuse plus que tout, je retirai mes chaussures et les jetai à l'eau. « Bella! » Je me retournai, les brois croisés pour découvrir Castel qui accourait vers moi. « Bella, s'il-te-pl...» « Alors c'est vrai? » Un moment de silence s'installa et Castel hocha la tête, les yeux baissés, honteux. Je le giflai et il ne répondit rien. Tournant les talons en pleurant, il persista. Et la scène ci-haut eu lieu.